Victor dans la ville#6

Une lecture pour fêter, avec décalage, le centenaire de la naissance de Boris Vian. Centenaire survenu en pleine crise sanitaire, ce qui ressemble finalement bien à l’intéressé ! L’hyperactivité créative et/ou l’humour corrosif dont fit preuve Boris Vian avaient au moins deux raisons : la première, historique – on sortait d’une guerre mondiale, avec le sentiment d’intense libération que cela peut procurer… pour entrer dans une autre, coloniale ! – ; la seconde, personnelle – il se savait, sur le plan de la santé, condamné et n’avoir donc que peu de temps à vivre –. Bref, toutes les raisons pour être drôle ! « Faut rigoler, faut rigoler… » fit-il ainsi chanter au joyeux Henri Salvador… Si la lettre « V » est associée, depuis de longs mois, au mot virus, elle fut là, pour nous, l’initiale de Vian : V comme Vian… V comme Vivant !

Extraits de romans et d’essais, poèmes, chansons et paroles de Boris Vian

Nous accompagnons des lectrices et lecteurs amateurs dans leur pratique depuis maintenant plusieurs années, à travers les stages que nous organisons ou dans le cadre de groupes constitués. Par ailleurs, nous avons tissé des liens étroits et chaleureux avec un autre festival, Lectoure à voix haute , qui se déroule à Lectoure (Gers) et qui accomplit lui-même un travail important auprès des amateurs. En préfiguration d’une collaboration directe en 2022, nous avons donc invité un groupe de lectrices et lecteurs gersois à participer à la présente édition. Et ce samedi matin se fut ainsi l’occasion d’une rencontre avec des groupes amateurs de la région rouennaise, chacun proposant une lecture d’une vingtaine de minutes.

Avec quatre groupes de lecteurs et lectrices amateurs, de l’agglomération rouennaise et de Lectoure

Nous accompagnons des lectrices et lecteurs amateurs dans leur pratique depuis maintenant plusieurs années, à travers les stages que nous organisons ou dans le cadre de groupes constitués. Par ailleurs, nous avons tissé des liens étroits et chaleureux avec un autre festival, Lectoure à voix haute , qui se déroule à Lectoure (Gers) et qui accomplit lui-même un travail important auprès des amateurs. En préfiguration d’une collaboration directe en 2022, nous avons donc invité un groupe de lectrices et lecteurs gersois à participer à la présente édition. Et ce samedi matin se fut ainsi l’occasion d’une rencontre avec des groupes amateurs de la région rouennaise, chacun proposant une lecture d’une vingtaine de minutes.

Avec quatre groupes de lecteurs et lectrices amateurs, de l’agglomération rouennaise et de Lectoure

Voici un autre anniversaire : celui des 150 ans de La Commune. L’évocation de cet événement, tant du point de vue rétrospectif que de l’actualité, nous a semblé avoir toute sa place dans cette édition spéciale. Elle fait d’ailleurs écho à la précédente édition de notre manifestation dont le thème était « Populaire ». Rencontre organisée autour de deux livres : le Dictionnaire de la Commune, composé par Bernard Noël – occasion de saluer cet auteur et poète récemment disparu –, et La Commune au présent, de Ludivine Bantigny, historienne, qui a très aimablement accepté de participer à cette rencontre. Echange avec notre invitée ponctué par la lecture d’extraits des deux ouvrages.

Avec Ludivine Bantigny, Alexis Pelletier, Sophie Amaury et Sophie Caritté

Lire ici l’article d’Alexis Pelletier sur La Commune au présent, l’ouvrage de Ludivine Bantigny

Accueillis par le Foyer des marins – lieu-repère pour les marins du monde entier de passage dans la ville – nous nous devions de proposer une sorte de voyage. Et sachant que ledit Foyer sera bientôt également Maison de la Poésie et de l’Oralité, nous avons eu envie de privilégier le registre poétique et la chanson. Bref, que le voyage soit évoqué dans le contenu-même des textes ou qu’il se fasse de par l’usage de langues autres que la nôtre (dont le russe),Une belle manière de prendre le large !

Avec Sophie Amaury, Sophie Caritté, Alain Fleury, Alexis Pelletier, Thomas Rollin, Sergueï Vladimirov et Agathe Bloutin

Une heure avant que ne débute la dernière série de lectures. C’était le bon créneau pour de derniers préparatifs, pour boire ensemble (mais pas trop près quand même) un café ou un thé. Recevoir l’ami Pierre Olingue, photographe invité, pour évoquer son travail autour des métiers du spectacle. Et puis… se rendre compte que oui ce sont les vingt ans d’Alias Victor ! Alors partager cette heure avec nous a vraiment permis qu’elle soit heureuse.

15h30 à 17h15 / point de ralliement : #labo Victor Hugo

Chacun.e des participants a pu assister à trois lectures courtes (environ 25’), sélectionnées parmi plusieurs propositions, revisitant différents thèmes. La « carte » disponible en début de festival permet de composer son « menu » ou choisir entre plusieurs formules (un principe incontournable : vous ne pourrez pas tout voir !).

Une partie de ces lectures faisait place au thème de l’adolescence, de par le contenu mais aussi de par l’âge des lecteurs. Nous accueillons en effet quatre jeunes et vaillants lecteurs, manière de rendre visible le travail que nous menons depuis plusieurs années avec des collégiens et des lycéens. Façon également d’offrir à un public adolescent des lectures les concernant très directement.

Par ailleurs, il y a eu aussi la place, durant une partie de l’après-midi, pour nous donner à lire des textes que vous aimez. C’est le public qui choisit un passage suffisamment court (2 à 3 minutes), bien lisible d’un point de vue pratique, et le confie à l’équipe qui se met dans l’instant, de manière improvisée, à le lire à voix haute !

Un temps de clôture avec toutes et tous, en extérieur. Et puis le temps de se dire « à l’édition suivante ! »… ou avant, pour d’autres aventures.

Avec l’équipe d’Alias Victor